7 mai 2009

Bientot le site internet

Le mbongui CONGO

le site internet du MFUMU A NSTIE ANDELY-BEEVE

Ce dernier est en cours de construction et seras bientôt opérationnel.

Merci

Le MBONGUI CONGO

VOICI LE PROJET DE SOCIETE JE VOUS PROPOSE:

LE MBONGUI CONGO

LE DEFI DEMOCRATIQUE





lisez le et ouvrons le debat sur les commentaires ensemble

Merci

20 mars 2009

Curriculum Vitae


Nom : ANDELY – BEEVE
Prénom : /
Consacré le 19 Novembre 1993 MFUMU A NSIE
(Prince traditionnel) de la Principauté AMAYA

Date et lieu de naissance : 17 Septembre 1955 à Lékéty District d’Okoyo
Situation matrimoniale : Marié, un enfant
Diplômes : Titulaire .d’une licence en droit public (1975)
.d’un DEA droit public Université Sorbonne Paris II Sorbonne (1978)
Etudes religieuses : Ancien séminariste de Makoua
Formation théologique et philosophique à l’Ecole de la Foi et des Ministères Fribourg – Suisse 1999 – 2001

FONCTIONS ADMINISTRATIVES
- Chef du Service Administration, Assurances, Juridique Elf Congo 1981 - 1985
- Chef des Services Administration du Personnel ELF Congo 1985 - 1987
- Chef du Département Personnel et Ressources Humaines 1987 - 1988
- Détachement dans les Services centraux Elf Aquitaine Pau France Management 1989 - 1991

FONCTIONS POLITIQUES ET GOUVERNEMENTALES
- Conseiller communal de la ville de Pointe Noire 1982 -1984
-Secrétaire d’Etat à l’Emploi, Action sociale et Solidarité 1991 – 1992
-Ministre de l’Emploi, du Travail, de l’Action sociale et de la Solidarité nationale 1992
-Député national Circonscription d’Okoyo
- Ministre du Travail, de l’Emploi, chargé de la gestion des Ressources humaines 1993

ACTIVITES ENTREPRENEURIALES
- Homme d’affaires (Négociant)
- Actionnaire et Directeur Général de la Société ICO S.A

ACTIVITES ASSOCIATIVES
-Président de la Fondation TERRAM PACIS (2002 – 2004)
- Président de l’Association ‘’ Agis pour la Communauté de Lékéty’’
- Coordonnateur du Cercle ‘’MBONGUI’’

6 mars 2009

LE DEFI



LE DEFI DEMOCRATIQUE
DU CONGO
CONSTRUIRE UNE NATION
CONGOLAISE, UNIE, PLURIELLE
ET SOLIDAIRE



MFUMU A NSIE
ANDELY-BEEVE

Depuis la rupture du consensus national, consensus obtenu grâce à la Conférence nationale mais remis en cause par les guerres civiles successives de 1993 à 1999, le Congo s’est engagé dans une impasse.
Le développement du Congo est compromis. D’aucuns sont même pessimistes sur la survie de notre Etat. Tout ceci nous frappe au commencement du 21è siècle. Nous sommes convaincus de ce que la manière dont le Congo va aborder le premier quart de ce siècle sera déterminante pour la suite. Malheureusement, aucun indice n’est actuellement favorable.
La Conférence nationale de 1991 nous a montré la meilleure voie pour réconcilier le Peuple avec lui–même et avec Dieu, à savoir la voie du dialogue et du consensus। Elle a défini une tryptique de valeurs, fondement moral du Congo nouveau : Tu ne mentiras pas, tu ne voleras pas, tu ne tueras pas. Cependant la Conférence nationale n’a eu ni la sérénité ni la lucidité nécessaires pour remettre en cause nos vues paralysantes sur :

1. Une organisation spatiale du Congo qui pollue la géopolitique congolaise
depuis l’accession de notre pays à l’indépendance ;
Notre organisation territoriale sous-tend et perpétue la division du pays en
nord/sud et fonde ainsi les stratégies rivales des différents acteurs politiques।

2. Une peur maladive du phénomène ethnique, peur qui consacre l’Etat du type
jacobin et a même servi à justifier l’existence de maintes dictatures ;

3. Un reniement de nos propres cultures et valeurs, même dans leur essence la
plus saine, et, une désorganisation de nos propres systèmes d’organisation
politique et sociale. Nous nous sommes déculturés, aspirés par une fausse
copie des valeurs institutionnelles et morales de l'occident.

Quarante huit ans après l’indépendance, le rêve hallucinatoire s’est évanoui। A défaut de trouver dans le système actuel un cadre institutionnel favorable au dialogue loyal, direct, productif et unificateur, les peuples du Congo ont entretenu entre eux, depuis l’indépendance, des rapports souvent tendus, quelques fois violents।
La Nation congolaise actuelle entretient l’illusion d’une relation et d’une communication directe entre la Nation et le citoyen congolais. Cette communication directe et interpersonnelle est en partie un leurre et une sérieuse antinomie avec les valeurs bantoues du groupe. Le citoyen congolais, par sa liaison directe avec l’Etat, n’est pas pour autant mieux protégé que dans un système représentatif.
Au demeurant, que ce soit pour le vote démocratique ou pour son ascension sur le plan national, cette liaison directe est occultée au profit de réseaux ethniques et familiaux. Le système institutionnel congolais actuel désarticule l’organisation sociale traditionnelle pour laisser place à un désordre social, une véritable anarchie où ne prévalent que deux valeurs pour l’appropriation du pouvoir, à savoir la détention d’un diplôme et/ou souvent la force armée.